Le cheminement de Kares Le Roy vers la photo s’est fait progressivement. Ce parisien, formé au design, a d’abord travaillé dans le monde musical, sa passion première. Création de logos, de pochettes d’albums :  il œuvre aussi bien pour des labels indépendants que des maisons de disques. Il bifurque aussi vers l’univers de la mode, en free lance ou avec son agence de création 555Lab. A l’abord de la trentaine, l’aspect purement commercial de sa créativité lui pèse et il décide de faire une pause et de s’offrir de longues vacances.

Très marqué par la stigmatisation des médias envers les pays du Moyen-Orient après les attentats du 11 septembre, il part vers ces contrées mal aimées à la rencontre des personnes qui y vivent. Accompagnant un ami photographe, il n’aura de cesse de le questionner sur l’utilisation du matériel. Cet apprentissage sur le terrain, les rencontres sur place font écho à ses premières lectures des livres d’Amin Maalouf, aux images de Salgado ou du couple Michaud : ce qui au départ ne devait durer que quelques mois lui prendra 2 ans.  Kares Le Roy en revient transformé et sort son premier livre :  56000 kilomètres – un continent et des hommes. 

Après un temps à Paris, dont il apprécie maintenant la “beauté et la force” après avoir vu briller les yeux des autochtones qu’il a rencontrés sur son chemin quand il annonçait qu’il venait de France, il est reparti en Iran témoigner et rendre compte des “personnes oubliées”. Iran Immortel qu’il présente au Vincennes Images Festival est le fruit de ce périple.

Le cheminement de Kares Le Roy vers la photo s’est fait progressivement. Ce parisien, formé au design, a d’abord travaillé dans le monde musical, sa passion première. Création de logos, de pochettes d’albums :  il œuvre aussi bien pour des labels indépendants que des maisons de disques. Il bifurque aussi vers l’univers de la mode, en free lance ou avec son agence de création 555Lab. A l’abord de la trentaine, l’aspect purement commercial de sa créativité lui pèse et il décide de faire une pause et de s’offrir de longues vacances.

Très marqué par la stigmatisation des médias envers les pays du Moyen-Orient après les attentats du 11 septembre, il part vers ces contrées mal aimées à la rencontre des personnes qui y vivent. Accompagnant un ami photographe, il n’aura de cesse de le questionner sur l’utilisation du matériel. Cet apprentissage sur le terrain, les rencontres sur place font écho à ses premières lectures des livres d’Amin Maalouf, aux images de Salgado ou du couple Michaud : ce qui au départ ne devait durer que quelques mois lui prendra 2 ans.  Kares Le Roy en revient transformé et sort son premier livre :  56000 kilomètres – un continent et des hommes. 

Après un temps à Paris, dont il apprécie maintenant la “beauté et la force” après avoir vu briller les yeux des autochtones qu’il a rencontrés sur son chemin quand il annonçait qu’il venait de France, il est reparti en Iran témoigner et rendre compte des “personnes oubliées”. Iran Immortel qu’il présente au Vincennes Images Festival est le fruit de ce périple.