

SI Nikos Aliagas est avant tout connu en tant que présentateur, il devient au fil des années et des expositions, reconnu comme photographe. Mais dès sa première édition en 2015, le Vincennes Images Festival a décidé de lui faire une place et d’exposer ses prises de vues à chaque biennale. En mai 2022, il revient pour faire découvrir sa nouvelle série inédite Insouciance.
Après les Urbanités, les Mains et les Âmes grecques, Nikos Aliagas propose de nouveau ses instantanés en noir et blanc. Car pour celui qui a photographié dès l’enfance même sans appareil, « pour retenir le temps », toutes les couleurs se trouvent dans le noir et blanc.
Ce choix s’est aussi encré en lui le jour où il a trouvé, dans un boîte à chassures de ses parents, des photos en noir et blanc d’eux jeunes. Il a alors réalisé que le temps passait.
Ainsi, malgré trente années très actives, où radio, télé, et même chant ont accaparé sa vie professionnelle, la photographie est restée en fil rouge dans la vie de Nikos Aliagas Et cette fois-ci, il renoue avec ce temps de l’insouciance, comme un retour à l’enfance. Dans cette nouvelle série sont mis en avant les sensations, ces fugacités qui sont le credo de l’artiste qui « photographie encore pour essayer de déceler ce qui n’est pas le cadre”.


SI Nikos Aliagas est avant tout connu en tant que présentateur, il devient au fil des années et des expositions, reconnu comme photographe. Mais dès sa première édition en 2015, le Vincennes Images Festival a décidé de lui faire une place et d’exposer ses prises de vues à chaque biennale. En mai 2022, il revient pour faire découvrir sa nouvelle série inédite Insouciance.
Après les Urbanités, les Mains et les Âmes grecques, Nikos Aliagas propose de nouveau ses instantanés en noir et blanc. Car pour celui qui a photographié dès l’enfance même sans appareil, « pour retenir le temps », toutes les couleurs se trouvent dans le noir et blanc.
Ce choix s’est aussi encré en lui le jour où il a trouvé, dans un boîte à chassures de ses parents, des photos en noir et blanc d’eux jeunes. Il a alors réalisé que le temps passait.
Ainsi, malgré trente années très actives, où radio, télé, et même chant ont accaparé sa vie professionnelle, la photographie est restée en fil rouge dans la vie de Nikos Aliagas Et cette fois-ci, il renoue avec ce temps de l’insouciance, comme un retour à l’enfance. Dans cette nouvelle série sont mis en avant les sensations, ces fugacités qui sont le credo de l’artiste qui « photographie encore pour essayer de déceler ce qui n’est pas le cadre”.