
Merci à l’Adjudant Benoit MOSER d’avoir accepté de répondre à nos questions.

Comment s’est structurée la gestion des photos pour votre corps de métier?
Pour recontextualiser notre fonds photos, il faut savoir qu’il date d’après la Seconde Guerre mondiale. Ce qui représente près de 1 million de clichés. Pour gérer ce trésor le groupe médiathèque est composé de deux pompiers, une réserviste et une stagiaire. Leurs missions : indexer, cataloguer et numériser les négatifs mais aussi les reportages des photographes d’aujourd’hui. Nous réalisons en moyenne 360 reportages opérationnels et institutionnels à l’année représentant 12000 photos. Nous avons comme outils principaux de travail le logiciel Lightroom pour réaliser le traitement des photos et la gestion des métadonnées ainsi que la médiathèque Keepeek qui permet le classement et la consultation de nos images.
Quelques mots sur votre historique de la photo ?
La présence de photographe au sein de la BSPP date d’après la Seconde Guerre mondiale. Au début, les photographes avaient pour mission principale, la prise de vue de matériel. Au fil des années, ils se sont rendus sur intervention. 40 photographes au total se sont succédés pour fixer sur une image l’histoire de notre institution. De jour comme de nuit, notre véhicule composé d’un photographe et d’un vidéaste s’engage au rythme des départs sur les interventions d’ampleur.
La présence de photographe au sein de la BSPP date d’après la Seconde Guerre mondiale.
Vous exposez dans le cadre du VIF. Comment s’est faite la sélection ?
La sélection des photos pour le VIF s’est faite de la façon suivante. Chaque photographe a sélectionné 4 à 5 photos dans leurs reportages des dernières années. Ensuite la responsable artistique, Sylvia Borel, a choisi une ou deux photos par photographes répondant aux attentes.

Votre définition de la photo en une phrase ?
La photographie représente pour moi une fraction de vie du sujet qui restera unique car à travers un moment figé par la prise de vue, une ou des histoires peuvent être racontées grâce à l’imagination de chacun.

Merci à l’Adjudant Benoit MOSER d’avoir accepté de répondre à nos questions.

Comment s’est structurée la gestion des photos pour votre corps de métier?
Pour recontextualiser notre fonds photos, il faut savoir qu’il date d’après la Seconde Guerre mondiale. Ce qui représente près de 1 million de clichés. Pour gérer ce trésor le groupe médiathèque est composé de deux pompiers, une réserviste et une stagiaire. Leurs missions : indexer, cataloguer et numériser les négatifs mais aussi les reportages des photographes d’aujourd’hui. Nous réalisons en moyenne 360 reportages opérationnels et institutionnels à l’année représentant 12000 photos. Nous avons comme outils principaux de travail le logiciel Lightroom pour réaliser le traitement des photos et la gestion des métadonnées ainsi que la médiathèque Keepeek qui permet le classement et la consultation de nos images.
Quelques mots sur votre historique de la photo ?
La présence de photographe au sein de la BSPP date d’après la Seconde Guerre mondiale. Au début, les photographes avaient pour mission principale, la prise de vue de matériel. Au fil des années, ils se sont rendus sur intervention. 40 photographes au total se sont succédés pour fixer sur une image l’histoire de notre institution. De jour comme de nuit, notre véhicule composé d’un photographe et d’un vidéaste s’engage au rythme des départs sur les interventions d’ampleur.
La présence de photographe au sein de la BSPP date d’après la Seconde Guerre mondiale.
Vous exposez dans le cadre du VIF. Comment s’est faite la sélection ?
La sélection des photos pour le VIF s’est faite de la façon suivante. Chaque photographe a sélectionné 4 à 5 photos dans leurs reportages des dernières années. Ensuite la responsable artistique, Sylvia Borel, a choisi une ou deux photos par photographes répondant aux attentes.

Votre définition de la photo en une phrase ?
La photographie représente pour moi une fraction de vie du sujet qui restera unique car à travers un moment figé par la prise de vue, une ou des histoires peuvent être racontées grâce à l’imagination de chacun.