EXPOSITIONS

Du 9 mai au 13 juin, découvrez des artistes de talent à travers notre sélection d’expositions à ne surtout pas manquer. À vos agendas !

Du 9 au 28 mai

Les soldats de l’image - Pompier de Paris (Lieu 15 - Espace Sorano)

Les soldats de l’image de la BSPP, archivent, instruisent, ou encore informent la population sur des opérations de grandes ampleurs comme les attentats, l’incendie de Notre-Dame, l’explosion rue de Trévise… où ils sont seuls autorisés à être sur place.

Vincennes au temps de la grande Guerre - ECPAD (Lieu 15 - Espace Sorano)

Le saviez-vous ? 

Lors de la première guerre mondiale, la Grande Guerre, Vincennes fut un acteur de premier rang dans la gestion logistique et l’approvisionnement des troupes en denrées et matériaux divers. 

C’est ce que l’on appelait à l’époque « une station-magasin » : un organe de l’intendance composé de magasins situés à proximité d’une gare, à une distance peu considérable du front, et mettant à la disposition des armées des approvisionnements de toute sorte. En somme, un régulateur indispensable des mouvements de matériel vers les armées. 

C’est le témoignage de cette époque qui est proposé ici, grâce aux images issues des fonds d’archives détenus par l’ECPAD.

 

Du 16 mai au 13 juin

Évanescences - Jean Michel Lenoir (Lieu 10 - Cœur de ville)

« Évanescence » est une recherche personnelle sur les ambiances minimalistes et les paysages épurés, photographiés ici et là depuis le pas de ma porte jusqu’aux contrées du nord de l’Europe.

Des images inspirées, graphiques et minimalistes. Une bulle poétique , comme un témoignage des beautés sauvages que nous offre la nature dans ce qu’elle a de plus fragile et de plus éphémère. Un plaidoyer pour qu’elle reste encore et pour longtemps, une source d’émerveillement. 

Photographes de plateau - Association PFA (Lieu 11 - Rue de Fontenay)

Le métier de photographe de plateau est né avec le cinématographe. Les photos ont de tout temps contribué à la promotion, à la distribution, à l’exportation des films. C’est aussi grâce à elles que nous gardons le souvenir de films qui ont fait l’histoire du cinéma.  

Ce travail est précis, il requiert beaucoup d’attention, de rapidité et de souplesse vis-à-vis de chaque personne de l’équipe. Il faut être discret mais savoir s’imposer, être présent mais non pesant. Le photographe de plateau consacre l’essentiel de son énergie à saisir les acteurs au travail et à capter les moments d’émotion, d’humour, d’action, représentatifs du film.

Le photographe de plateau est à la fois un technicien spécialisé et un auteur. L’association PFA, crée en 2013, regroupe 22 membres et a pour but de mettre en avant les spécificités de ce métier. De promouvoir l’originalité, le professionnalisme et le sens artistique de chacun de ses membres. De partager, en se regroupant, expériences et savoirs. D’assurer la pérennité du métier et sa place dans le processus de création, de diffusion et de mémoire.

Du 16 au 23 mai

Il était une fois la nuit - Carole Reboul (Lieu 12 - Centre Georges-Pompidou)

Cette exposition est une ode à la nuit. Il est important de pouvoir observer le ciel étoilé, pour mieux comprendre notre place dans l’Univers. L’obscurité est un besoin vital pour tous les êtres vivants, faune et flore y compris. Cet équilibre est fragilisé par la pollution lumineuse. Heureusement, des solutions se mettent en place, afin que le ciel étoilé puisse continuer à être admiré par les générations futures. Photos extraites du livre « Il était une fois la nuit ». Ces 10 tirages abordent les différentes facettes de la nuit : les étoiles, l’obscurité, la faune, l’émerveillement…

Autoportrait(s) - Angélique Boissière (Lieu 12 - Centre Georges-Pompidou)

Après son projet Marées, exposé plusieurs fois et décliné en un premier livre, Angélique Boissière se dévoile un peu plus dans une série d’autoportraits argentiques réalisés au moyen format. Captée au fil du temps depuis 2014 – et toujours en cours –, cette nouvelle série prolonge son travail de portraitiste et renvoie aux réflexions sous-jacentes à Marées.

« Tout portrait peint avec sincérité est le portrait de l’artiste, et non du modèle », disait Oscar Wilde. C’est l’une des logiques de cette série d’autoportraits, où la jeune photographe se met en scène directement, sans dissimuler l’outil photographique, là où elle se dessinait seulement à travers ses portraits précédents.

Galerie Argentic présente Roger Schall - Eric Boudry (Lieu 7 - Hôtel de ville)

Roger Schall né à Nancy le 25 juillet 1904 et décédé à Paris 18e le 4 décembre 1995 est un photographe de mode français ayant exercé des années 1930 à 1970.

Il est célèbre pour ses photographies de nuit de Paris réalisées pendant l’Occupation nazie. Roger Schall couvre avec Blaise Cendrars en 1935 la construction du Normandie et embarque à son bord pour le voyage d’inauguration. Photographe de mode, ses photos sont publiées dans plusieurs magazines, tels Vogue ou Marie-Claire, et il réalise plusieurs portraits de Gabrielle Chanel.

Durant l’occupation, il prend des photographies montrant les divers aspects de la présence de l’armée allemande. Il les publiera en novembre 1944 dans un livre intitulé À Paris sous la botte des nazis.

Du 17 mai au 13 juin

One Breath around the world - Franck Seguin (Lieu 6 - Rue Eugène-Renaud)

GUILLAUME NERY, l’homme qui marche sous l’eau 

FRANCK SEGUIN, photographe

Guillaume Néry est multiple champion du monde d’apnée, réalisateur et scénariste de clips et de documentaires. Guillaume et Franck nous proposent avec ce projet de nous faire découvrir différents univers sous-marins et de nous faire faire un tour du monde sur tous les océans du globe.

Avec eux, nous voyagerons vers l’histoire, à la rencontre d’Hommes et des animaux de la planète mer qui leur tiennent à cœur. C’est en retenant notre souffle que nous irons à leur rencontre au travers des destinations exceptionnelles. Nous comprendrons mieux au fil du voyage ce qu’est leur engagement écologique.

La passion du sport - Franck Seguin (Lieu 2 - Rue Midi)

Franck Seguin est passionné par la photographie, le sport et les photographes, il est aujourd’hui rédacteur en chef et responsable de la production photo à SAS L’équipe depuis 2008. Il y côtoie les plus grands sportifs de la planète ainsi que les personnalités liées au monde du sport, de manière intimiste, pour les besoins de ses reportages. Il a couvert de nombreux Jeux Olympiques, des Coupes de monde de foot, de rugby, une vingtaine de Roland Garros, le Tour de France, etc…

Galeries Rastoll (Lieu 6 - Rue Eugène-Renaud)

François Rastoll

Directeur de la galerie qui porte son nom, auteur photographe, peintre et musicien, il est aussi un collectionneur d’art averti. Il expose la génération émergente et tente de découvrir les talents de demain. Les photographies de François Rastoll montrent l’impact qu’a eu son passé sur sa vie présente. Il en est toujours ressorti une œuvre étrange et sombre mais remplie d’onirisme et de poésie. Il nous présente ici des artistes qui lui sont chers.

Anne-Sophie Jeannin

C’est une artiste autodidacte et instinctive capturant des lieux, plus que des moments. Sa série « Extractions urbaines », instinctive et spontanée lui permet d’isoler des éléments “silencieux”, dépouillés, simplifiés de villes pourtant vives et animées, c’est une vision macroscopique et fragmentée.

CarCam

Ses sujets photographiques de prédilection oscillent entre la rue et le nu mais gardent en commun la vulnérabilité de toutes personnes qui se risquent à parler de ses chimères. La série Hibernia Remanens nous fait vivre à travers des paysages denses et oniriques sa mélancolie du temps jadis.

Christophe Airaud

Photographe de presse, il travaille ensuite pour la télévision, puis devient journaliste culturel. En 2016 il reprend son boitier. « Que s’agit-il de photographier, de capturer, quand en une journée des milliards d’images déferlent sous nos yeux ? » Cette exposition rassemble des images recueillies sur des terres encore préservées de l’urbanisation à outrance. La photographie serait donc encore possible, comme mémoire de ces lieux et temps, une trace préservée, dans la rétine et dans l’âme.

Daniel Karila Cohen

« Tel Dr Jekyll et Mr Hyde, j’exerce la profession de médecin le jour et me transforme le reste du temps ; pas en monstre sanguinaire, mais en photographe compulsif. » J’ai une prédilection pour la ville, lorsque je veux explorer la couleur aux heures où le soleil est bas et où nos ombres nous dépassent, et de plus en plus souvent pour la nature, dans ses détails et sa géométrie plutôt que dans ses paysages, et cette fois-ci en noir et blanc.

Maroc, un temps suspendu - Flore (Lieu 6 - Rue Eugène-Renaud)

Artiste photographe franco-espagnole née en 1963, Flore vit et travaille actuellement à Paris. Après avoir travaillé durant 10 ans pour la presse nationale elle se consacre exclusivement à son travail personnel en 2008.

Par des interventions techniques raffinées au laboratoire, en alchimiste même, que Flore façonne tout autant qu’elle restitue le monde qui se déploie sous ses yeux pour en faire des images uniques qui s’éloignent de la réalité photographique conventionnelle.

Elle passe avec aisance des techniques les plus anciennes comme le platine-palladium ou le cyanotype aux plus modernes, en les mixant parfois et en intervenant physiquement sur les tirages avec de la cire ou de l’or.

Les passagers du Mississipi - Mélanie Desriaux (Lieu 6 - Rue Eugène-Renaud)

La frontière est une zone limite. C’est aussi l’un des mythes historiques des États-Unis. Au 15ème siècle, le mot  «frontière» a été emprunté au français par l’anglais pour désigner la région d’un pays qui fait face à un autre pays.  En Amérique du Nord, «frontière» signifie une région d’un territoire frontalier civilisé.

« La série Les passagers du Mississippi fait suite à mes recherches photographiques. Elle est la poursuite de La conquête. J’ai longé le Mississippi de St. Louis à  la Nouvelle-Orléans. La sinuosité et les débordements du Mississippi révèlent l’illusion d’une frontière et  symbolisent la migration. »

Why Me, succès et talents - Charly Ho (Lieu 6 - Rue Eugène-Renaud)

Charly Ho est arrivé comme une météorite dans le monde de la photographie contemporaine. Si depuis vingt ans il était déjà connu dans le milieu de la photographie de mode et de publicité, c’est rempli d’énergie, de volonté et de talent qu’il a décidé depuis deux ans d’investir le champ de la photographie contemporaine.

Presenté par PHOX et “Faut Pas Pousser les ISO”, Charly Ho est auteur photographe autodidacte. Il a grandi en collectionnant des images découpées sur des revues de Mode, de Voyage, et d’Art.

La photographie est un prisme qui lui permet de capter ses inspirations créatives, et de voir le monde avec des points de vue différents. Sa photographie est une réflexion sur sa perception de ce qui l’entoure, un témoignage social, une collection personnelle de choses qui a croisé son chemin.

Multitudes - Club de Vincennes (Lieu 15 - Espace Sorano)

Le club photo Vincennes-Images vous propose une multitude de regards, de sensibilités et d’inspirations photographiques. Une trentaine de photographes vous font découvrir leur univers personnel. 

Multitudes - Club de Vincennes (Lieu 19 - Murs du cimetière de Vincennes)

Le club photo Vincennes-Images vous propose une multitude de regards, de sensibilités et d’inspirations photographiques. Une trentaine de photographes vous font découvrir leur univers personnel. 

Iran Immortel - Kares Le Roy (Lieu 9 - Cours Marigny)

Imaginée comme un voyage dans un pays aux mille visages, cette oeuvre composée de 254 photographies veut rendre hommage à l’Iran et à son peuple. Elle témoigne avec sensibilité de ce que l’Humanité a pu faire de plus beau, de plus noble et de plus ingénieux à la fois.

Entre poésie et mythologie, le photographe Kares Le Roy dresse ici une série de portraits, de scènes de vie et de paysages qu’il est parti réaliser durant dix années jusqu’aux confins de ce grand pays. Une manière de rappeler que l’ancienne Perse a su traverser les époques sans perdre de son éclat.

Intime Yellowstone - Denis Palanque (Lieu 9 - Cours Marigny)

Cette exposition est le résultat d’une série de photographies réalisées au cours de plusieurs séjours dans la région du Yellowstone en période hivernale. Une quête de ces moments de vie sans artifice, de ces ambiances sans concession où la neige, le froid et la glace rendent la vie plus intense.

Si l’hiver apporte à ce territoire des conditions de vie pour le moins difficiles tant pour les animaux que pour les hommes, il apparaît pourtant qu’en cette saison la faune retrouve tranquillité et quiétude, loin de la cohue touristique des mois estivaux.

L’hiver est donc une période qui se mérite mais qui permet à l’observateur, à l’amoureux de nature, au photographe, de vivre et ressentir ce territoire en toute intimité.

Baby boom - Didier Bizet (Lieu 5 - Square des Frères-Hautière)

Didier Bizet a travaillé de nombreuses années en tant que directeur artistique pour le compte de clients internationaux en agences de publicité en 2015. Il se consacre uniquement à la photographie.

Ses attirances vont vers les anciens pays du bloc soviétique où la mélancolie du temps se laisse docilement photographier.

Il a reçu en 2020 un Sony Awards pour sa série Baby boom publié de nombreuses fois en France comme à l’international et projetée en 2020 au festival de Visa pour l’image.

Eleves de Berlioz (Lieu 17 - Cité scolaire Hector Berlioz)

Kiev au temps de l'innocence - Stephan Gladieu (Lieu 9 - Cours Marigny)

« Faire face aux autres, sans m’imposer à eux, tenter de les raconter avec humanisme en apparaissant le moins possible, c’est sans doute pour cela que j’aime autant, aujourd’hui, le portrait-miroir qui saisit le sujet dans la frontalité la plus crue, comme un cadre anthropologique de référence. » – Stéphan Gladieu

Stéphan commence sa carrière dans le grand reportage puis se forge un style personnel basé sur le portrait, alliant recherche esthétique et rigueur du travail documentaire.

Aujourd’hui, il se concentre principalement sur la réalisation de séries personnelles de portraits traitant de faits historiques, anthropologiques ou sociologiques peu connus du grand public (le génocide des Hereros en Namibie, les sociétés secrètes du Benin, la vie quotidienne des Nord-Coréens…). 

Son travail est régulièrement exposé et publié, en France comme à l’international. Il est représenté par la Galerie Olivier Castaing/School Gallery, à Paris et la galerie Artco, en Allemagne, Afrique du Sud et Etats-Unis.

L'art du Photojournalisme - Président d'honneur Pascal Maitre (Lieu 1 - Place Pierre-Semard)

Après des études de psychologie, Pascal Maitre commence sa carrière de photojournaliste, en 1979, dans le Groupe Jeune Afrique. A partir de 1984, il rejoint le staff de l’agence Gamma. En 1989, il co-fonde l’agence Odyssey Images. De 1994 à 2018 il  est membre de l’ agence Cosmos. Maintenant il est représenté en France par l’agence MYOP et à l’étranger par l’ agence Panos Pictures.

Si l’Afrique demeure son terrain de prédilection, Pascal Maitre a également réalisé plusieurs photoreportages sur d’autres zones du monde : Proche Orient, Amérique du Sud,  Sibérie…

Reconnus comme l’un des plus grands photoreporter français, on ne compte plus les prix reçus par Pascal Maitre. De nombreuses publications en particulier dans le National Géographique, des Expositions et ouvrages permettent également de découvrir  son incroyable talent.

Rencontre avec les forces de la terre - Olivier Grunewal (Lieu 8 - Parvis de l'Hôtel de ville)

Après trois années de formation en photographie publicitaire, dix autres accroché à des cordes pour capter les évolutions de grimpeurs et alpinistes, Olivier Grunewald revient à sa passion première, la nature sauvage.

Son premier voyage en Islande en 1978 oriente son travail vers une quête des forces de la Terre et l’amène aujourd’hui à être qualifié de « photographe des Origines ».

La rencontre avec les volcans actifs et les aurores boréales est une étape marquante pour Olivier. « Je ne me lasse pas des éruptions… bruits, odeurs, vibrations, dynamisme : tout est démesure… »  dit le photographe. A chaque avancée, la technologie lui offre les moyens de revisiter le monde : saisir les lumières nocturnes, filmer, prendre de la hauteur avec des drones. « Des drones équipés pour récupérer les images en direct par radio, me permettent de descendre au coeur des cratères pour filmer des explosions, quitte à perdre le drone ! ».

Bathyfolage polaire - Erwan Amice (Lieu 8 - Parvis de l'Hôtel de ville)

Durant 20 ans d’expéditions scientifiques, Erwan Amice a eu la chance de côtoyer des lieux rares.

Il nous propose ici des images choisies d’Arctique et d’Antarctique, mêlant rencontres animales exceptionnelles et univers sous-marins peu connus. Témoins du bouleversement en cours, les pôles cristallisent par la rapidité des phénomènes naturels, la catastrophe annoncée d’un changement global des conditions de vie sur notre planète.

Mêlant graphisme des paysages, scientifiques en action et animaux rares, le regard d’Erwan est toujours teinté d’esthétisme engagé.

L'insouciance - Nikos Aliagas (Lieu 8 - Parvis de l'Hôtel de ville)

L’insouciance, comme un lointain souvenir qui nous replonge en enfance, comme l’écho d’un monde révolu où chaque instant était suspendu. L’insouciance par temps de tempête je le retrouve dans le regard d’un gamin dans les bras dans sa mère, dans le rire d’un homme mûr, dans l’offrande d’un village, dans la chevelure de l’homme de la mer, dans les pas délicats de la danseuse, dans les bras tendus vers le ciel d’un homme dont je ne vois pas le visage…

L’insouciance, fille de la félicité et de l’émerveillement ne se possède pas, je la reconnais alors que je ne la recherche pas, je ne la possède pas, je la croise ci et là comme la lumière qui s’invite dans le cadre, à sa guise face à la lagune…

Titans des mers - Ewan Lebourdais (Lieu 8 - Parvis de l'Hôtel de ville)

Ewan Lebourdais, photographe et Peintre officiel de la Marine*, est avant tout un grand amoureux des sports nautiques et des éléments marins. Au fil de ces dernières années, il a vu grandir sa passion pour la photographie au sein de cet univers iodé, s’essayant à différents exercices de style, jusqu’à trouver le sien.

Épris de l’univers maritime sous toutes ses formes, le photographe a immortalisé dans son viseur une large palette d’images de mer, de la mythique frégate Hermione aux figures acrobatiques des  windsurfeurs bretons, en passant par les «mastodontes» de la Marine Nationale, à l’instar du porte-avions Charles de Gaulle et des sous-marins nucléaires de l’Île Longue.

*intégré à ce prestigieux corps séculaire au 1er septembre 2021, il rejoint Yann Arthus-Bertrand et Jean Gaumy (Magnum), dans la lignée des Mathurin Méheut et autres Marin-Marie…

Portraits « calés » et Urbex - Jean Pierre Rieu (Lieu 16 - Place Bérault)

Portraits « calés »

Le 17 mars 2020 à 12h le confinement commence dans l’hexagone…

Nous avons tous un penchant à procrastiner et j’ai donc profité des premiers jours pour rattraper le retard, faire toutes les choses que j’avais pris l’habitude de repousser au lendemain. Mais cela ne dure qu’un temps et très vite l’envie de faire des photos est revenue.

J’ai donc décidé de reprendre mes autoportraits en les adaptant au confinement : Puisqu’il n’était plus possible de rencontrer d’autres personnes, j’ai décidé de leur demander de m’envoyer une photo d’eux qui me servirait à faire un autoportrait.

Dans cette série figure des amis proches, des amis avec qui je voyage ou bien j’ai voyagé et avec qui j’ai partagé de sacrés bons moments, mais aussi des personnes avec qui j’ai eu des échanges ou bien tout simplement dont j’apprécie le travail photographique.

Urbex

L’Italie est un pays que j’affectionne particulièrement… Pour le climat, la douceur de vie, les paysages, les gens… Mais si j’y retourne régulièrement chaque année c’est à la recherche de lieux abandonnés. Que ce soient des châteaux, des églises, de belles villas ou n’importe quels autres lieux, les fresques aux murs, les moulures témoignent de la splendeur d’antan… Et je suis particulièrement sensible à cette beauté. 

Orient(s) Extrême(s) - Alexandra Benkemoun (Lieu 14 - Allée Georges-Pompidou)

De la photographie de mode prônant le rêve et la perfection à la photographie « de terrain » magnifiant la réalité, il n’y a qu’un pas. Ces deux mondes qui, au premier regard, tendent à s’opposer, comportent finalement une myriade de points de convergence : un imaginaire, des attitudes, des poses, une histoire à raconter… « Réaliser des photographies de mode ou de beauté est mon quotidien. Pour m’inspirer, j’ai besoin de retrouver, au cours de mes voyages à travers le monde, la vie « simple », qui est source d’inspirations et de remises en questions. »

Les Gens de Mer - Philippe Marchand (Lieu 5 - Square des Frères-Hautière)

Noir, blanc, ombre, lumière, ce qui se voit et ce qui se laisse deviner, l’océan et ceux qui le côtoient. Philippe Marchand nous ouvre le monde de la mer dans ce qu’il a de plus intime et de plus humain. Son approche est sensible, toute en nuances et pudeur.

Les photos de Philippe Marchand sont comme des fragments d’histoire. Il met en évidence la relation entre la mer et les hommes : comme ils la regardent, comme ils l’abordent et l’intimité qu’ils partagent avec elle à travers leurs activités et leurs passions. L’empreinte de l’homme sur le paysage marin et celle de l’océan sur la vie des hommes, jusque dans leurs attitudes et sur leurs visages.

Big-Headed - Juliette Jourdain (Lieu 5 - Square des Frères-Hautière)

Mon travail photographique est constitué de portraits et auto-portraits réalisés pour la majorité en studio. Le filigrane de mon travail porte sur la transformation de soi. J’aime inventer des personnages imaginaires inspirés du cinéma, de la musique, de la peinture ou de la mode. J’ai entamé en 2016 la série Big-Headed composée à ce jour d’une galerie de 218 auto-portraits de personnages oniriques, glamour ou fantastiques. 

Le but est de composer 365 portraits égrainés comme les jours d’un calendrier. Je m’interroge sur la magie de la métamorphose, à quel point elle peut troubler la lecture du caractère d’une même personne. Pour chaque auto-portrait, chacun va interpréter le caractère de mes personnages selon ses propres références.

London Remix - Gildas Lepetit Castel (Lieu 5 - Square des Frères-Hautière)

« Je suis fait de tout ce que j’ai vu. » disait Matisse et nul doute que Londres fait partie de moi. C’est dans ses rues que j’ai commencé à photographier, je n’ai eu de cesse d’y retourner pour m’y perdre et chercher à saisir son atmosphère si particulière. Et si mon but premier était de brosser un portrait atemporel de l’inépuisable capitale britannique, je me suis rapidement rendu compte que c’était moi que j’essayai de trouver en errant dans ses rues. Rapidement Londres est devenue le décor de mes premiers amours, de mes premiers regrets, mais surtout un refuge où rêver… de jour comme de nuit pour expirer des images. 

Iceland Desert - Julie Poncet (Lieu 5 - Square des Frères-Hautière)

Island Desert suit les aventures d’une jeune femme contrainte à l’exode urbain.
Dérèglement climatique, difficultés économiques et pertes de repères sociaux la poussent de plus en plus loin sur les chemins de l’exil. Nous la suivons dans son périple, entre exploration et acclimatation. Petit à petit, le manque d’interaction sociale affecte son comportement.
La série évoque l’émancipation des femmes, mais aussi les difficultés de cette émancipation dans un contexte de bouleversements écologiques et sociaux.

D'Ouest en Est : La route - Bernard Loyal

Successivement photographe de spectacle, réalisateur, producteur puis… professeur d’allemand, Bernard Loyal parcourt l’Europe et se passionne pour son Histoire, ses langues et sa littérature, autant que pour la transformation des paysages, ce dont témoignent ses différentes séries photographiques, régulièrement exposées, en France ou à l’étranger.Président de Vincennes-Images de 2018 à 2021,

Adresse : 7 rue de la Jarry 94300 Vincennes

Architexture - Valero Damien

Artiste plasticien français Damien Valero a enseigné l’art et l’espace au Georgia Tech Paris Program en partenariat avec l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Paris-La Villette. Il convoque l’architecture à travers des fragments réalisés avec des techniques mêlées : vidéo, volume, montage sonore, photographie numérique. En organisant des manques, des vides dans les représentations, l’artiste pousse le spectateur à réinventer les architectures dont il ne reste que des fragments.

7 rue de la Jarry 94300 Vincennes

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