Bandeau_stephan_gladieu

17 Mai, 2022

portrait_stephan
Sans la notion d’espace et de frontière, peut-être que Stephan Gladieu ne se serait pas consacré à la photo et aux univers qu’il s’est choisi. Car un événement vécu dans sa prime adolescence a conditionné son parcours: en voyage en Roumanie avec son père, à l’aube des années 80, il traverse une forêt, tombe sur une barrière au milieu de nulle part qu’il franchit mais est arrêté par des douaniers russes. L’expérience est marquante. A 19 ans, il décide de revenir sur place pour chercher l’homme qu’il l’a sauvé de cette situation, ne le retrouve pas mais rapporte de son périple ses premières photos. C’est le déclic. Il sera le témoin des ailleurs, des entre-deux, des lieux et situations compliquées qu’il aborde sous l’axe de l’identité.
Dans les années 90, il photographie ainsi l’Irak, le Kosovo, l’Afghanistan dont il témoigne des conditions de vie des habitants, notamment à travers des portraits. 

S’ensuivront  des témoignages sur l’île de Hainan, symbole du paradoxe chinois, car peuplée de milliardaires qui osent s’afficher (2012), un reportage dans cinq pays d’Afrique pour rendre compte de l’implication des femmes dans l’amélioration du cadre de vie de leur proche avec l’aide de la Banque Mondiale  (2016). Puis il part à la découverte de la Corée du Nord, avec l’idée de faire découvrir au monde l’identité de ce pays si à part et si peu connu, notamment au travers de sa théâtralité et sa censure. (2017-2020). Très récemment, son travail s’est porté sur l’identité culturelle à Kinshasa au travers des artistes de la capitale congolaise. 

En prise avec l’actualité, Stephan Gladieu s’est rendu très vite en Ukraine depuis le conflit et c’est sont travail que le Vincennes Images Festival est honoré de vous proposer.

Ukraine. Kiev.Juillet 2019.

NewsLetters

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17 Mai, 2022

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Sans la notion d’espace et de frontière, peut-être que Stephan Gladieu ne se serait pas consacré à la photo et aux univers qu’il s’est choisi. Car un événement vécu dans sa prime adolescence a conditionné son parcours: en voyage en Roumanie avec son père, à l’aube des années 80, il traverse une forêt, tombe sur une barrière au milieu de nulle part qu’il franchit mais est arrêté par des douaniers russes. L’expérience est marquante. A 19 ans, il décide de revenir sur place pour chercher l’homme qu’il l’a sauvé de cette situation, ne le retrouve pas mais rapporte de son périple ses premières photos. C’est le déclic. Il sera le témoin des ailleurs, des entre-deux, des lieux et situations compliquées qu’il aborde sous l’axe de l’identité.
Dans les années 90, il photographie ainsi l’Irak, le Kosovo, l’Afghanistan dont il témoigne des conditions de vie des habitants, notamment à travers des portraits. 

S’ensuivront  des témoignages sur l’île de Hainan, symbole du paradoxe chinois, car peuplée de milliardaires qui osent s’afficher (2012), un reportage dans cinq pays d’Afrique pour rendre compte de l’implication des femmes dans l’amélioration du cadre de vie de leur proche avec l’aide de la Banque Mondiale  (2016). Puis il part à la découverte de la Corée du Nord, avec l’idée de faire découvrir au monde l’identité de ce pays si à part et si peu connu, notamment au travers de sa théâtralité et sa censure. (2017-2020). Très récemment, son travail s’est porté sur l’identité culturelle à Kinshasa au travers des artistes de la capitale congolaise. 

En prise avec l’actualité, Stephan Gladieu s’est rendu très vite en Ukraine depuis le conflit et c’est sont travail que le Vincennes Images Festival est honoré de vous proposer.

Ukraine. Kiev.Juillet 2019.

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